ANNE BALDRAN KINESIOLOGUE
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Vaincre ses peurs avec la kinésiologie

Les peurs et les croyances sont des protections qui nous permettent de vivre en sécurité. Elles sont comme des barrières, des murs qui gardent le danger à distance. Quand ces peurs deviennent excessives, elles se transforment en barreaux, ce lieu protégé devient une prison, une cage mentale.
Ainsi, se débarrasser de ces peurs permet de retrouver souplesse et liberté d'action.

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Pourquoi avons-nous peur ?

La peur est un sentiment de grande inquiétude lorsqu’on pense à un danger ou à une expérience traumatisante. C'est une réaction à la conscience d’un danger.
La peur a une fonction de protection et de défense. Elle constitue une limite à ce qui nous paraît dangereux. Elle exerce une fonction physiologique face au danger, qui nous prépare soit à fuir soit à lutter.
Mais il arrive que certaines situations anxiogènes ne permettent ni de fuir, ni de lutter, par convention sociale (harcèlement) ou par impossibilité physique (avion). Ce sentiment d'incapacité à pouvoir agir renforce le caractère angoissant de l'expérience et rend la peur pathologique.

Quelles sont les différents types de peur ?

Il existe différents degrés de peur.
Nous pouvons ressentir, au cours de la journée, une simple inquiétude ou un peu d'appréhension à arriver à l'heure à un rendez-vous ou avant un entretien difficile...
La crainte d'un danger est une peur normale, liée à l’instinct de conservation qui génère de la prudence : peur du vide, peur des serpents.
Ne pas avoir peur est dangereux. Toute personne qui n’est pas en état d’alerte face à un danger met sa vie et celle des autres en péril.
Quand la peur devient excessive, on parle alors de frayeur et d'effroi si elle est soudaine, et de phobie quand elle s'installe de façon chronique.

La peur normale, instinct de protection

La peur normale est une réaction primaire pour nous protéger d’un danger de mort (peur des serpents, peur du vide...). Ce type de peur provoque une réaction très rapide car elle est déclenchée par nos capteurs sensoriels.
Par exemple, vous marchez sur un chemin de campagne quand tout à coup, du coin de l'œil, vous apercevez une forme longue et sinueuse. Votre première réaction instinctive sera de vous écarter et tout votre corps se prépare à la fuite (augmentation du rythme cardiaque, de la respiration…) car votre cerveau limbique aura automatiquement associé cette forme à un serpent qui représente un danger. Puis, dans un deuxième temps, votre mental va analyser la situation et comprendre qu’il s’agit en fait d’une corde. Vous êtes soulagé, votre corps retrouve son calme et vous pouvez continuer votre promenade.
Les informations qui déclenchent la peur sont issues de nos capteurs sensoriels visuels, auditifs ou tactiles. Ces informations transitent jusqu’au thalamus qui les analyse, leur donne du sens et les oriente vers les régions du cortex les plus adaptées. Parmi elles, les informations les plus inquiétantes sont redirigées vers une zone du cerveau appelée amygdale. Quel que soit le stimulus qui déclenche la peur, c’est l’activation de l’amygdale qui provoque tous les symptômes réactionnels. L'amygdale est sollicitée en cas de peur, de stress intense et face à la nouveauté. Cette activation est inconsciente et beaucoup plus rapide que l’analyse rationnelle du mental.
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Quand la peur devient pathologique

Si une peur normale est perçue comme un signal d’alarme, proportionnel au danger,  dans la peur pathologique, ce signal est mal calibré et se déclenche trop facilement. En état de stress chronique, les réactions comportementales à ces peurs deviennent inappropriées, exagérées et inhibitrices. Ces peurs excessives touchent environ un adulte sur deux.
Certaines peurs sont nées d’un événement traumatisant qu'on redoute de revivre : peur de conduire après un accident, peur des chiens après une morsure, phobie sociale suite à du harcèlement scolaire, peur de refaire une crise d’angoisse, à l’origine de beaucoup d’attaques de panique.
La peur d'avoir peur est souvent présente en plus, chez les personnes anxieuses et phobiques. Elle est très liée à une hypersensibilité aux symptômes réactionnels de peur. Le moindre signe (accélération du rythme cardiaque, mains moites...) alerte la personne et déclenche la peur.

Le sentiment d'impuissance ressenti, quand on ne peut ni fuir, ni lutter, génèrent anxiété et angoisse.
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Les phobies se caractérisent par :
- Une peur extrême et incontrôlable vivement ressentie au cours des attaques de panique.
- Des évitements systématiques de ce qui terrifie.
- Une qualité de vie et une sérénité fortement amoindrie.
-
Une sensation de handicap social intense.
- Un caractère chronique.
Derrière les phobies se cachent des peurs multiples. Par exemple, le trac ou la peur de parler en public cache la peur d’être jugée, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur du regard des autres...
La peur de l’avion cache souvent la peur du vide, la peur d’être enfermé, la peur de perdre le contrôle...

Les peurs inconscientes

Il existe également des peurs dont on n'a pas toujours conscience. Ces peurs remontent souvent à l'enfance et se sont installées, suite à des événements pénibles vécus quotidiennement ou à des mises en garde répétées et anxiogènes d'un parent, lui-même phobique.
La peur de l'abandon,
du rejet est associée à une souffrance psychique vécue dans l’enfance. Un manque de communication avec les parents ou une mise à l'écart, parfois nécessaire (déplacement chez la nounou, séjour hospitalier,...) n'est pas toujours bien vécue par l'enfant. Cette expérience douloureuse est réactivée à chaque situation présente qui la rappelle, de près ou de loin.
La peur de lâcher prise peut également induire un comportement d'hyper contrôle permanent, des troubles obsessionnels ou des difficultés de sommeil...
Ces peurs n'ont pas forcément un objet extérieur responsable comme les phobies mais elles sont toujours présentes et orientent nos actions, nos pensées et nos réactions émotionnelles.

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Quelles sont les conséquences d'une peur chronique ?

Des symptômes physiques

La peur paralyse le corps et l’esprit.
Elle empêche d’avancer,
de penser clairement.
Elle impacte le corps physique : tremblements, palpitations, mains moites, bouche sèche, souffle court… par l’activation du système nerveux orthosympathique.

Des évitements

Les évitements soulagent la personne sur le moment limitant ainsi l'angoisse déclenchée par la confrontation à l'objet de la peur.
Une personne souffrant d'attaque de panique a peur d'avoir peur, de faire une crise cardiaque... Elle va donc éviter toute activité physique qui déclenche des symptômes tels que l'accélération du rythme cardiaque car pour elle, les palpitations sont instantanément associées à un danger !

En fonction de notre phobie, on peut éviter des lieux (marché, avion, ascenseur…), des images, des sensations. Ces évitements sont parfois subtils et inconscients. Nous pensons alors faire un choix conscient alors que notre décision est dictée par une peur subie. Ainsi, nous pouvons justifier l'évitement de prendre l’ascenseur à cause d'une claustrophobie par une excuse rationnelle : "Prendre les escaliers me permet de faire un peu de sport à moindre frais !" (ce qui est vrai aussi!)
Le problème des évitements est qu'ils renforcent la peur et empêchent de la dépasser en maintenant l’idée qu’il y a un réel danger. De nombreuses études ont montré que l'évitement de pensées effrayantes amplifie leur caractère angoissant.
Ces évitements sont de fausses solutions car en réalité, ils entretiennent et maintiennent la peur intacte.

Des réactions disproportionnées

Une personne sous l'emprise d'une peur irrationnelle perd toutes ses capacités de raisonnement.
Elle surveille en permanence son environnement, à l'affût du moindre objet évoquant le stimulus de peur et imagine toujours le pire.

En état de tension permanente, elle a tendance à percevoir l’environnement de manière dichotomique : sécurité ou danger.
L’imagination, chez la personne phobique, joue un rôle majeur. La simple évocation d’un mot peut déclencher des images mentales extrêmement angoissantes.

La fatigue

La surveillance permanente, la dissimulation du malaise et l'effort que demande les stratégies d'évitement requière une énergie considérable et fatigue l’organisme.
Or, être fatigué fragilise le moral, rend plus vulnérable émotionnellement et donc encore plus dépendant aux peurs.

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Quelle solution pour se débarrasser de ses peurs ?

La kinésiologie

Une des principales difficultés à se débarrasser d’une peur réside dans le fait que cette peur est mémorisée dans le corps, là où une analyse consciente et rationnelle n'a que peu d'impact.
L'intérêt de la kinésiologie réside dans son travail sur le corps et sa capacité à nettoyer le corps de ses mémoires traumatiques. Elle réduit considérablement la nécessité de maîtriser consciemment sa lutte contre les démons émotionnels de la peur.

Les résultats

L'affirmation de soi
Des corrections spécifiques travaillant sur l’estime de soi permettent de renforcer la confiance en soi, indispensable au travail d’exposition des TCC.


Sensation d'apaisement et d'équilibre dans le corps
La restructuration cognitive
Un travail en kinésiologie permet de modifier votre système de croyances en le débarrassant des peurs subconscientes et des croyances limitantes, irrationnelles et excessives.

Régulation du système nerveux autonome
Réduction
du stress chronique
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Le stress aggrave les peurs et maintient un cercle vicieux.
Libération de traumatisme
Certaines situations évoquent à l'inconscient un contexte d'un traumatisme initial, ce qui réveille les angoisses

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Si le sujet vous intéresse, je vous recommande cet ouvrage :
"Psychologie de la peur : craintes, angoisses et phobies", Dr Christophe André, médecin psychiatre.

Consultations sur RDV

Je vous reçois dans plusieurs cabinets à Toulouse.

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Mercredi
Consultations au
Cabinet paramédical Le 67
67 rue d'Alsace Lorraine
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Vous n'imaginez pas tout ce que la kinésiologie peut faire pour vous !

Traiter les crises d'angoisse et les troubles anxieux
Réduire le stress chronique de manière significative dès la première séance

Soulager la migraine
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Vous accompagner dans votre reconversion professionnelle

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